23/05/2013
VALERIE ROUZEAU, "AEROPORT MES CHAUSSURES VERTES...”
VALERIE ROUZEAU
"AEROPORT MES CHAUSSURES VERTES...”
suivi de
“BILAN POST-TRAUMATIQUE...”
Lus par Suliane BRAHIM et Georgia SCALLIET
Poèmes extraits du recueil Vrouz, publié à la Table ronde (mars 2012)
Née en 1967, Valérie Rouzeau est poète, traductrice, entre autres de Sylvia Plath et Williams Carlos Williams. Elle a publié des recueils de poésie Pas Revoir en 1999, Va où en 2002, entre autres ; des essais, par exemple sur Sylvia Plath... Avec Vrouz , elle tente le sonnet pour dessiner des autorportraits.
Réalisation : Marguerite Gateau
Prise de son : Olivier Dupré
Montage : Aveline Carmoi
Assistante à la réalisation : Marie Plaçais
Choix des poèmes : Laurence Courtois
23:28 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, patrick milique, valérie rouzeau, georgia scaleett, suliane brahim, vrouz, poète, traductrice, sylvia plath, williams carlos williams, sonnet, dessiner, autoportrait, marguerite gateau, olivier dupré, aveline carmoi, marie plaçais, laurence courtois, courage, aimer, étrange, fusion, mémoire, déchaîner les passions, alexandrie, rome, gestuel, confier, orage, forger son destin, julie sicard, clothilde de bayser, the ramones, les frères jacques, affrontement, marie-joseph, maudit, noirmoutiers, mouette rieuse
22/05/2013
VALERIE ROUZEAU, "QUE PUIS-JE FAIRE DE CETTE MOUCHE...”
VALERIE ROUZEAU
"QUE PUIS-JE FAIRE DE CETTE MOUCHE...”
suivi de
“THERMOS DE CAFE NOIR...”
Poèmes lus par Julie SICARD et Clotilde de BAYSER
Poèmes extraits du recueil Vrouz, publié à la Table ronde (mars 2012)
Née en 1967, Valérie Rouzeau est poète, traductrice, entre autres de Sylvia Plath et Williams Carlos Williams. Elle a publié des recueils de poésie Pas Revoir en 1999, Va où en 2002, entre autres ; des essais, par exemple sur Sylvia Plath... Avec Vrouz , elle tente le sonnet pour dessiner des autorportraits.
Réalisation : Marguerite Gateau
Prise de son : Olivier Dupré
Montage : Aveline Carmoi
Assistante à la réalisation : Marie Plaçais
Choix des poèmes : Laurence Courtois
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21/05/2013
VALERIE ROUZEAU, "VROUZ"
VALERIE ROUZEAU
"VROUZ"
BONNE QU'A CA OU A RIEN...
suivi de
ET D'AVENTURE MA MAIN...
Poèmes de Valérie ROUZEAU
Lus par Georgia SCALLIET et Suliane BRAHIM
Poèmes extraits du recueil Vrouz, publié à la Table ronde (mars 2012).
Née en 1967, Valérie Rouzeau est poète, traductrice, entre autres de Sylvia Plath et Williams Carlos Williams. Elle a publié des recueils de poésie Pas Revoir en 1999, Va où en 2002, entre autres ; des essais, par exemple sur Sylvia Plath... Avec Vrouz , elle tente le sonnet pour dessiner des autorportraits.
Réalisation : Marguerite Gateau
Prise de son : Olivier Dupré
Montage : Aveline Carmoi
Assistante à la réalisation : Marie Plaçais
Choix des poèmes : Laurence Courtois
18:23 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, patrick milique, valérie rouzeau, georgia scaleett, suliane brahim, vrouz, poète, traductrice, sylvia plath, williams carlos williams, sonnet, dessiner, autoportrait, marguerite gateau, olivier dupré, aveline carmoi, marie plaçais, laurence courtois, courage, aimer, étrange, fusion, mémoire, déchaîner les passions, alexandrie, rome, gestuel, confier, orage, forger son destin
10/04/2013
GEORGES FOUREST : " LES POISSONS MELOMANES "
GEORGES FOUREST
" LES POISSONS MELOMANES "
Poème de Georges FOUREST
Lu par Nicolas LORMEAU
La Négresse blonde, 1909 © José Corti
Né le 6 avril 1867 à Limoges, Georges FOUREST suit des études de droit. Il se qualifie ensuite d’"avocat loin de la cour d’appel", comme il aime à se nommer. Il vient à Paris, où il fréquente les milieux littéraires symbolistes et décadents, collabore à plusieurs revues (La Connaissance, Le Décadent) et se rend célèbre avec La Négresse blonde (Messein, 1909, rééd. Corti 1986), préfacé par Willy, et placé sous le patronage de Rabelais. Georges Fourest fera encore paraître Contes pour les satyres (Messein, 1923, rééd. Corti, 1990) et le Géranium ovipare (Corti, 1935, réé. 1984), qui respirent une même atmosphère ludique et lubrique. Il meurt à Paris le 25 janvier 1945. Après une période de désaffection, il est peu à peu redécouvert à mesure que se manifeste un regain d’intérêt pour la littérature 1900.
« Georges Fourest était un poète français à la verve parodique et irrévérencieuse, jouant avec truculence de mots rares ou cocasses, des dissonances de ton, de l’imprévu verbal et métrique, des effets burlesques.
Quand j’ai connu Georges Fourest, il était dans la soixantaine et déjà célèbre. Il ne ressemblait pas plus à l’idée qu’un lecteur de La Négresse blonde pouvait se faire de lui que le Gracq qu’on imaginait au moment de la publication du Château d’Argol ne ressemblait au Gracq réel. Le poète, qui époustouflait les foules et rêvait d’un enterrement délirant, était un homme tout à fait posé et – sauf quand à Deauville il portait veste blanche et casquette de yachtman – vêtu de la classique et déjà désuète jaquette et coiffé du melon dont le règne touchait aussi à sa fin. Il avait l’air bonhomme d’un chef de bureau de ministère. Il n’en avait pas moins écrit La Négresse blonde pour son plaisir et le nôtre. Littérairement, ce livre singulier n’appartient à aucune école, sauf la fourestière, comme dit l’à-peu-près de Willy. Il y a des gens qui deviennent célèbres à force de travail, ou de constance, ou d’acharnement ; qui entassent Pélion sur Ossa jusqu’à forcer l’attention. À Fourest, la célébrité était venue, d’un coup, après une incubation et maturation des plus lentes, le jour où il avait fait paraître sa Négresse. Il y aura bientôt soixante ans que le succès de ce petit livre se maintient avec une aimable régularité, et trente qu’elle est entré chez moi, après des années de vagabondage, tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre. »
José CORTI, Souvenirs désordonnés
23:44 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, patrick milique, les poissons mélomanes, tatcher, juliette heyman, laurence courtois, laure hélène planchet, manon houssin, josé corti, georges fourest, julien graq, nicolas lormeau, limoges, la connaissance, le décadent, la négresse blonde, rabelais, willy, ludique, lubrique, bourreau, dame de fer, verve, parodique, irrévérencieux, cocasse, truculence, château d'argole, répondre, priver de lait, ras le bol, territoire de belfort, facturation, horaire, respecter
09/04/2013
GEORGES FOUREST : " SARDINES A L'HUILE "
GEORGES FOUREST
" SARDINES A L'HUILE "
Poème de Georges FOUREST
Lu par Nicolas LORMEAU
La Négresse blonde, 1909 © José Corti
Né le 6 avril 1867 à Limoges, Georges FOUREST suit des études de droit. Il se qualifie ensuite d’"avocat loin de la cour d’appel", comme il aime à se nommer. Il vient à Paris, où il fréquente les milieux littéraires symbolistes et décadents, collabore à plusieurs revues (La Connaissance, Le Décadent) et se rend célèbre avec La Négresse blonde (Messein, 1909, rééd. Corti 1986), préfacé par Willy, et placé sous le patronage de Rabelais. Georges Fourest fera encore paraître Contes pour les satyres (Messein, 1923, rééd. Corti, 1990) et le Géranium ovipare (Corti, 1935, réé. 1984), qui respirent une même atmosphère ludique et lubrique. Il meurt à Paris le 25 janvier 1945. Après une période de désaffection, il est peu à peu redécouvert à mesure que se manifeste un regain d’intérêt pour la littérature 1900.
« Georges Fourest était un poète français à la verve parodique et irrévérencieuse, jouant avec truculence de mots rares ou cocasses, des dissonances de ton, de l’imprévu verbal et métrique, des effets burlesques.
Quand j’ai connu Georges Fourest, il était dans la soixantaine et déjà célèbre. Il ne ressemblait pas plus à l’idée qu’un lecteur de La Négresse blonde pouvait se faire de lui que le Gracq qu’on imaginait au moment de la publication du Château d’Argol ne ressemblait au Gracq réel. Le poète, qui époustouflait les foules et rêvait d’un enterrement délirant, était un homme tout à fait posé et – sauf quand à Deauville il portait veste blanche et casquette de yachtman – vêtu de la classique et déjà désuète jaquette et coiffé du melon dont le règne touchait aussi à sa fin. Il avait l’air bonhomme d’un chef de bureau de ministère. Il n’en avait pas moins écrit La Négresse blonde pour son plaisir et le nôtre. Littérairement, ce livre singulier n’appartient à aucune école, sauf la fourestière, comme dit l’à-peu-près de Willy. Il y a des gens qui deviennent célèbres à force de travail, ou de constance, ou d’acharnement ; qui entassent Pélion sur Ossa jusqu’à forcer l’attention. À Fourest, la célébrité était venue, d’un coup, après une incubation et maturation des plus lentes, le jour où il avait fait paraître sa Négresse. Il y aura bientôt soixante ans que le succès de ce petit livre se maintient avec une aimable régularité, et trente qu’elle est entré chez moi, après des années de vagabondage, tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre. »
José CORTI, Souvenirs désordonnés
Poèmes choisis par Laurence COURTOIS, pour Thomas, dans le recueil La Négresse blonde (éditions José CORTI).
Prise de son, montage : Manon HOUSSIN
Assistant à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
Réalisation : Juliette HEYMANN
18:23 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, tatcher, juliette heyman, laurence courtois, laure hélène planchet, manon houssin, josé corti, georges fourest, julien graq, nicolas lormeau, limoges, la connaissance, le décadent, la négresse blonde, rabelais, willy, ludique, lubrique, bourreau, dame de fer, verve, parodique, irrévérencieux, cocasse, truculence, château d'argole, répondre, priver de lait, ras le bol, territoire de belfort, facturation, horaire, respecter
07/04/2013
HUBERT VOIGNIER : " LES HAUTES HERBES " (4/5)
HUBERT VOIGNIER
" LES HAUTES HERBES "
(4/5)
« Plus encore que la notion de jachère… »
(les poèmes ne portent pas de titres, il s'agit des premiers mots indiqués ici entre guillemets)
Lu par Thierry HANCISSE
Poème extrait du recueil Les hautes herbes, © Cheyne éditeur, 2004, réed. 2011
Né en 1964 à Lyon, Hubert Voignier a publié quatre livres à Cheyne dans la collection Grands fonds (Suites terrestres, 1991, Paysages, encore et autres petits contes, 2003, Le Débat solitaire, 2006 et Le Morateur, 2008). Et deux autres titres chez Deyrolle : Paysages, en 1994, et Les Hauts Plateaux, en 1996. Collaboration aux revues Théodore Balmoral, Verso, L’Atelier contemporain (n°2, 2000 / n°7, 2003), les Heures.
Extraits choisis par Laurence COURTOIS
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
23:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, balourdise, prêtre, évêque, cardinal, convertir, chrétienté, du bout des lèvres, téléfilm, supplicier, favoritisme, thierry hancisse, laurence courtois, julien doumenc, pierre henry, michel sidoroff, laure-hélène planchet, hubert voignier, théodore balmoral, entre guillemets, notion, jachère
HUBERT VOIGNIER : " LES HAUTES HERBES " 3/5
HUBERT VOIGNIER
" LES HAUTES HERBES "
3/5
« Des premières tiges argentines et frêles… »
(les poèmes ne portent pas de titres, il s'agit des premiers mots indiqués ici entre guillemets)
Lu par Clément HERVIEU-LEGER
Poème extrait du recueil Les hautes herbes, Cheyne éditeur, 2004, réed. 2011
Né en 1964 à Lyon, Hubert VOIGNIER a publié quatre livres à Cheyne dans la collection Grands fonds (Suites terrestres, 1991, Paysages, encore et autres petits contes, 2003, Le Débat solitaire, 2006 et Le Morateur, 2008). Et deux autres titres chez Deyrolle : Paysages, en 1994, et Les Hauts Plateaux, en 1996. Collaboration aux revues Théodore Balmoral, Verso, L’Atelier contemporain (n°2, 2000 / n°7, 2003), les Heures.
Extraits choisis par Laurence COURTOIS
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
04:26 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, patrick milique, philippe meyer, bazar savant, apocalypse, hétéroclite, marchandise, canon de la beauté, le caire, mélancolie, étranger, dieu, mahomet, pologne, carare, ardoise, limon, liban, brûler la mêche, que le diable m'emporte, clément hervieu-léger, hubert voignier, laurence courtois, julien doumenc, pierre henry, rodolphe burger, michel sidoroff, marie hélène planchet, théodore balmoral
04/04/2013
HUBERT VOIGNIER : " LES HAUTES HERBES " 1/5
HUBERT VOIGNIER
" LES HAUTES HERBES "
1/5
« Aussi je m’en vais par les routes… »
(les poèmes ne portent pas de titres, il s'agit des premiers mots indiqués ici entre guillemets)
Poème extrait du recueil Les hautes herbes, © Cheyne éditeur, 2004, réed. 2011
Né en 1964 à Lyon, Hubert VOIGNIER a publié quatre livres à Cheyne dans la collection Grands fonds (Suites terrestres, 1991, Paysages, encore et autres petits contes, 2003, Le Débat solitaire, 2006 et Le Morateur, 2008). Et deux autres titres chez Deyrolle : Paysages, en 1994, et Les Hauts Plateaux, en 1996. Collaboration aux revues Théodore Balmoral, Verso, L’Atelier contemporain (n°2, 2000 / n°7, 2003), les Heures.
Extraits choisis par Laurence COURTOIS
Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY
Réalisation : Michel SIDOROFF
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET
23:55 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, patrick milique, hubert voignier, hautes herbeslaure hélène planchet, laurence courtois, pierre henry, julien douminc, michel sidoroff, théodore balmoral, revue littéraire, france-culture, deyrolles, l'atelier contemporain, débat solitaire, le marateur, les hauts plateaux, collaboration
21/03/2013
LEO FERRE : " LE VENT " LU PAR DANIELLE LEBRUN
LEO FERRE
" LE VENT "
Lu par
Danièle Lebrun
Né en 1916 à Monaco, Léo Ferré est mort en juillet 1993 en Italie, ce poète, auteur-compositeur et anarchiste a été l’un des plus prolifiques chanteurs français. Il met en musique de nombreux épisodes de sa vie, intime, contemplative, politique, engagée, qui dessinent avec plus de 40 albums en 46 années d’activité, un personnage attachant, un poète et un musicien populaire.
Poèmes choisis par Laurence Courtois
Prise de son, montage : Manon Houssin
Assistant à la réalisation : Laure-Hélène Planchet
Réalisation : Juliette Heymann
23:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, littérature| poésie| léo ferré, dalielle lebrun, académie française, italie, manon houssin, laure-hélène planchet, juliette heymann, monaco, anrchiste, prolifique, contemplatif, intime, engagé, louis aragon, dessiner, personnage attachant, ventiler, laurence courtois, ventre, champ de blés, faire l'amour, violon, yeux verts, atlantique, fantastique, naseaux, bercer, marin, moulin, bague, sabot, cheval, faire une croix, rose des vents, griffes, patte de velours, aller boire un verre, infortune